Avant la rencontre
L’intervenant.e doit faire partie du répertoire La plume au bout de la langue ;
Le nombre de rencontres est limité à 30 par an par personne. Il convient que l’intervenant.e soit attentif à ce nombre ;
Les intervenant.es ne peuvent démarcher auprès des écoles ;
La rencontre doit être co-construite afin d’être ajustée au projet pédagogique de l’enseignant.e ;
L’école veille à recevoir dans de bonnes conditions les intervenant.es, de même que ces derniers et dernières se préoccuperont d’offrir un atelier de qualité ;
L’atelier a lieu SEULEMENT si la demande est validée, c’est-à-dire si une réponse positive des détachées pédagogiques de la DLF (Direction de la langue française) a été reçue indiquant le nombre d’heures de rencontres, la date de celles-ci, le cachet de l’intervenant.e, la déclaration de créance vierge ;
Les parties vérifient le nombre d’heures par rapport au formulaire et à la réponse et signalent toute incohérence ; Tout excédent par rapport à la durée prévue des ateliers ne sera pas prise en charge par la DLF ;
Aucun frais supplémentaire ne peut être demandé à l’école (hormis le point suivant) ;
Du petit matériel pour l’activité peut être sollicité mais l’école doit en être informée avant. Ce matériel reste à disposition de l’établissement scolaire après l’activité. La DLF ne prend jamais en charge le matériel ;
Tout changement lié aux ateliers (date, identité de l’intervenant.e à condition que le ou la remplaçant.e soit dans le répertoire,…) doit être communiqué le plus rapidement possible ;
Il n’est pas permis de cumuler des ateliers slam de La Plume au bout de la langue avec le Concours SLAM pour une même classe. Tout cumul de ce type sera notifié et verra comme sanction l’annulation de la prise en charge financière initiale.
Pendant la rencontre
La Plume au bout de la langue n’est pas Auteurs en classe : lors des ateliers La Plume au bout de la langue, la rencontre avec un auteur ou autrice dont une œuvre a été lue et la discussion autour de celle-ci n’est pas le motif de la séance ;
Toute inquiétude ou difficulté liée au programme La plume au bout de la langue doit être communiquée rapidement ;
La présence de l’enseignant.e en classe et sa participation durant les activités est une nécessité. Tout écart par rapport à cette règle doit être soumis et justifié. Les ateliers sont un projet coopératif et participatif entre tous ses acteurs et actrices.
Après la rencontre
L’intervenant.e clôture la procédure administrative et renvoie la déclaration de créance à l’issue des ateliers, le plus rapidement possible ;
Pour les intervenant.es passant par la SMART, la date de facturation doit être postérieure au dernier atelier ;
De plus, la facture globale SMART s’élèvera au montant validé initialement après acceptation du projet ;
Pour les personnes utilisant un document RPI, il suffit de le rentrer à l’issue de l’atelier au même titre qu’une déclaration de créance ;
Le retour sur ces ateliers est obligatoire comme l’est la production finale.
Il tient à cœur à la DLF que cet engagement soit respecté, il en va du bon fonctionnement et de la continuité du programme La plume au bout de la langue.
